Forum des enfants
Visite de Claude K. Dubois à Evreux (22 mars 2015)
Des rencontres magiques…
Claude K;Dubois a rencontré trois classes de La Madeleine
La Madeleine, quartier « sensible »
Pour nous ce jour là, un quartier, des écoles, où il se passe des choses extraordinaires
A l’école Joliot Curie
les enfants avaient illustré au fusain et mis en voix l’histoire d’Akim
Une question qui est revenue dans chaque classe:
Dans quelle guerre vit Akim ont demandé les enfants :
J’ai voulu parlé des enfants qui vivent quand c’est la guerre dans leur pays, ou la guerre autour d’eux, mais c’était un peu compliqué à faire parce que il y a déjà des livres sur la guerre et j’avais envie de prendre ce livre d’une façon un peu particulière, de donner l’impression que l’on était cet enfant là, sans raconter beaucoup de choses mais avec beaucoup d’images. J’avais envie de donner les impressions que peut avoir cet enfant, un petit enfant qui se retrouve seul, il a perdu sa famille, plus rien n’existe, tout est détruit. J’avais envie de raconter cette histoire là. Et puis tout à coup, un petit déclic dans ma tête et j’ai enfin pu réaliser cet album qui est un livre important pour moi car il y a dedans tout l’amour que j’ai pour les enfants, et tout l’amour que j’ai pour les gens, pour les personnes qui vivent dans la peur, les personnes qui souffrent, et particulièrement les enfants car ils ne sont pas responsables du monde des adultes. Akim ne comprend pas ce qu’il lui arrive, c’est un enfant, il s’amuse, il joue, il a ses amis et tout d’un coup il se retrouve pris dans quelque chose d’incompréhensible pour lui. Et moi, ça me fait mal au cœur, alors j’avais envie d’en parler
Une question toute simple, une réponse qui a touché les enfants impliqués dans le Prix Janusz Korczak, un prix,pour un jury d’enfants en hommage au défenseur de leur droit au respect et à la protection .
Les enfants de la classe de CM2 de Mr Le Garrec de l’école Michelet avaient un extraordinaire cadeau pour Claude. Une déambulation poétique…Soudain, ils se sont levés, ils ont pris la parole, et dit, des poèmes. C’était magique, on assistait à un ballet poétique, ils se mouvaient, prenaient la parole comme des professionnels.
Et l’après-midi
A la bibliothèque de quartier
les questions étaient « très préparées » car enregistrées pour une émission que vous pourrez écouter bientôt sur Principe Actif
il faut vous dire que le matin aussi nous aurions du être à la bibliothèque mais les dangers de l’éclipse
ont confinés les enfants dans leur classe
Et samedi elle était à la librairie L’oiseau Lire de Annie Falzini